Ashley Greene
| J'ai fait mon sac, mon baluchon J'ai pris mes feutres et mes crayons A chaque problème sa solution. La belle Alice nous a menti Sur les merveilles de son pays.
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NOM : Owens, il me vient de mon soit disant père, un homme américain.
PRÉNOM(S) : Mon permier prénom est Keira, il sonne un peu américain, un peu Russe, il va parfaitement avec mes origines. Mon deuxiéme prénom est Juliette, c'est le prénom de ma mère, je la deteste ...
SURNOMS : On m'apelle Kei', des fois juste K', mais étant donné que Keira n'est pas un prénom très long, j'éstime qu'il n'est pas necessaire de le raccourcir d'avantage.
ÂGE : J'ai 20 ans, et toutes mes dents ! Encore heureux d'ailleurs !
DATE & LIEU DE NAISSANCE : Je suis née un 25 décembre dans l'hiver glaçial de la sainte Russie.
ORIGINES : Vous l'aure sans doute compris, je suis Russe, de ma mère en tout cas, mon père biologique j'en sais rien, je ne le connais pas ...
LIEU D'HABITATION : J'habite ici dans la petite ville de Worthington, une ville fort charmante.
PROFESSION : J'ai repris l'hôtel de la ville, donc, je suis la patrone de ce dernier.
GROUPE : Hunter, et fière de l'être =P
PHYSIQUE : « Mirroir, mon beau mirroir, dis moi qui est la plus belle »
Keira est une jolie jeune fille, son visage et sa beauté semble refléter son innocence. C’est une jeune fille aux cheveux chatains, ils sont légérement ondulés au niveau des pointes, ils sont plutôt longs, ils lui arrivent un peu en dessous de la poitrine. Marilyn est du genre à prendre soins, d’elle, a toujours faire le maximum pour être jolie, c’est pour celà qu’elle se lisse les cheveux des fois, les attaches, les detaches, fait toute sorte de coiffure, mais préférence est quand même de les avoir libres.
Les yeux de Keira sont en amande, souriant, marrons, elle porte des lentille de contact et il lui arrive d’en mettre des colorée, c’est selon son humeur. Elle les maquille, d’un trait de crayon noir en dessous, du phare à paupières, les couleurs dépendent de celle de ses vêtements, mais elle met souvent du noir car selon elle cette sombre couleur s’accorde avec tout.
Son visage est fin, sa peau pâle et ses pomettes légérement rosées. Son petit nez fin est un petit peu en trompette. Ses formes sont fines, elle pèse seulement 48 kilogrammes pour 1m62, elle n’est pas très grande et s’en plaind souvent, elle ne fait pas vraiment attention à ce qu’elle mange, elle ne prend pas facilement du poids et puis elle fait beaucoup de sport afin d’entretenir son corps.
Son style vestimentaire est banal mais soigné, elle choisit ses vêtements avec soin, elle porte des bijoux qui s’accordent avec ses habits. Elle aime bien porté des petite robes fine car elle dit être à l’aise dans se genre de vêtements, mais elle n’a pas toujours l’occasion de porter ce genre de vêtement, surtout l’hiver, durant cette saison elle privilégie les jeans ou les pantalons assez large tout en continuant à porter des jupes ou des robes d’hivers, avec des collants bien sûr.
Niveau chaussures, elle préfére les talons car ça lui permet de tricher un peu pour sa taille. Elle porte de tout, talons aiguilles, talons plats, elle a l’habitude alors ça ne lui fait plus mal aux pieds à part quand elle marche trop, mais quand elle sait qu’elle va avoir besoin de ses pieds un long moment, elle choisit des baskets, des ballerines, enfin, des trucs dans lequels on est à l’aise.
Voilà pour le physique de notre jeune femme s’il y a bien une chose qu’il faut retenir là dedans, c’est que Keira attache un point d’honneur à son physique et qu’elle essait au maximum d’être jolie même si comme toute les autres filles elle n’est jamais satisfaite !
Caractère : Le caractère de la Miss Owens voilà quelque chose d'étrange, si le physique vous a semblait bizarre attendez vous à bien pire ! Non je rigole, le caractère m'inspire moins que le physique. Bref, encore une fois le caractère de Keira est banal ! Euuuh, non peut être pas en fait, il faut avouer qu'elle est plutôt spéciale comme fille ! Entrons donc dans les détails.
Extravertie. C'est un mot qui la définie à merveille, elle est ouverte, sociable et encore plein d'autres synonymes si vous le desirez ! Elle aime parler aux gens, même si c'est pour raconter n'importe quoi ! Elle parle, elle parle, elle parle et elle parle, inlassable ! Elle est vraiment capable de parler pendant des heures entiére sans s'arrêter. Il lui arrive même de parler avec des inconnus, genre dans une salle d'attente. Les gens la trouve peut être lourde des fois. Mais bon c'est un atout de parler facilement, ça aide dans la vie.
Un deuxiéme adjectif : Dynamique. Vous voyez la durée de vie d'une pile élèctrique ? Et bien Stella tient encore plus longtemps, toujours en mouvement ! Elle ne s'arrête jamais, associé à sa joie de vivre sa donne un sacré truc, et c'est là qu'on en vient à ce qui est dit plus haut "Elle 'est pas toujours bien dans sa tête", ce dynamisme légendaire lui donne un quelque chose de ... Folie. On dirait souvent qu'elle est folle ! Les gens qui ne la connaissent pas rient surement d'elle mais elle s'en fout.
Maintenant : Impulsive. Peu réfléchie dans ses actes, elle agit souvent sans se soucier des conséquence, sous l'impulsion. De plus elle est téméraire, imprudente, le mélange de tout ça créé souvent de gros soucis. Mais bon elle assume !
Pour finir : Râleuse. Stella à un TOC ou un TIC je sais jamais lequel est le bon, bref, la jeune fille se plaind, elle râle constament, et souvent pour rien c'est devenue plus qu'une habitude, c'est une obssession, il faut qu'elle se plaigne de quelque chose constament. " Hô, il fait trop chaud", "aujourd'hui il fait trop froid", "Ca me soul, j'aime pas les maths", "Abusé, mes cheveux sont moches aujourd'hui". "Beurk, j'aime pas ce qu'on mange". Voilà vous avez compris, pas la peine de multiplier les exemples.
Le mot, le seul l'unique, celui contre lequel elle ne peut pas lutter, Maladresse, associé à Malchance extréme. Elle est d'une maladresse à coupé le souffle ! Dans le genre pas douée Keira bat des record ! Elle fait systématiquement tout, absolument tout, de travers, elle enchaine chute & gaffe en tout genre ! Elle s'en plaind et se considére comme un danger publique. Malgrés sa grande joie de vivre elle pense que sa mort serait un soulagement pour la nation !
Insupportable ? Est-ce que le mot résume bien son caractère ? Non je pense qu'il y'a pire, elle est juste un peu chiante, mais il faut accépté les gens avec leurs défauts et leurs qualités, notamment les handicapé du cerveau comme la pauvre Keira ! Je rigole Keira se souffre d'aucune maladie, c'est naturel !Quoi que ...
HISTOIRE : « Welcome in the life ! »
La première étape de la vie, celle qui normalement rend heureuse les mères et les père. Cette étape qui peut durer plusieurs heures, plusieurs heures de souffrance pour mettre au monde, un petit bébé de rien du tout, une petite créature que l'on est censé aimé. Je n'ai pas eu le droit à cet amour maternelle, je n'ai eu que mon père. La femme qui se disait ma mère, je l'ai vue dépérir de jour en jour, ses supporter ses cris autant qu'elle a supporté les miens quand je suis sortis de son ventre, autant qu'elle les a supporter quand je ne faisais pas mes nuits, autant qu'elle les a supporté jusqu'à sa mort.
Ma première rencontre avec ma mère, dans l'hôpital, le 25 décembre 1986, il faisait froid, mon père m'a raconté ce jour en me disant que le regard que ma mère m'a porté quand je suis venu au monde, quand l'infirmière lui a mit dans les bras le bambi que j'étais, ce regard avait été plus froid que le temps qu'il faisait dehor, c'était sûr dés la première seconde, elle allait me detester. Mais comment voulez vous que je le sâche à cet époque ? Je n'étais même pas encore capable de penser ....
Après, ce sourt instant, elle ne m'a plus jamais pris dans ses bras, par contre j'ai eu de nombreuse fois le droit à ses regards qui font peur, ses regard dans lesquels ont lit la haine sans jamais la comprendre ...
« I Need Your Love »
J'étais un bébé délaissé par sa mère, mon père s'occupait seul de moi et de ma mère, il m'a souvent dit que si elle me detestait, ce n'était pas de sa faute, c'était à cause de sa maladie, je n'ai jamais su qu'est-ce que c'était cette maladie, je sais juste qu'elle l'a emportée et que c'est mieux ainsi. Depuis que je suis sufisament grande pour pensé, je ne désirais que sa mort. Qu'elle parte. Que sa haine s'efface enfin.
J'ai souvent tenté de faire en sorte qu'elle m'aime. Vous savez, à l'école on fait des cadeaux pour la fête des mère, chaque année mon père me demandait de ne pas lui offrir, de le garder. Mais une année, j'avais décidé qu'elle aurait son cadeau, je m'étais dis que c'était peut être parce que je ne lui avais jamais offert de cadeau qu'elle me detestais temps. Alors je suis allée dans sa chambre, j'ai doucement poussé la porte, elle était assise sur son lit, une cigarette à la main, elle m'a regardé de haut, ne m'a rien dit, alors j'ai pris la paroles.
- Maman ... Aujourd'hui c'est la fête des mères, alors je voulais t'offrir un cadeau ...
- Un cadeau ? Laisse moi rire, tu parle du bout de carton que tu as dans les mains ? C'est juste mon à allez à la poubelle !
- C'est moi qui l'ai fait, pour toi ...
- Je m'en fous, jette le !
- Mais maman ...
- Je ne suis pas ta mère ! Va t'en !!
J'ai obéïs, j'ai quitté la chambre, j'ai jeté le cadeau, je suis allée dans ma chambre, j'ai pleurer. J'avais 7 ans, ma mère disais ne pas être ma mère, elle refusait mes cadeau, elle me detestait vraiment. J'étais une pauvre gamine malheureuse, mais je devais faire avec, après tout, je ne pouvais rien faire d'autre que subire cette haine incompréhensible, j'étais suffisament grande pour comprendre qu'il y' avait une explication, je savais qu'il y avait une raison pour laquelle elle ne pouvait pas m'offrir son amour. La maladie ? Non, à cette époque je ne pensais pas qu'elle était vraiment malade, elle avait l'air d'allez bien. Je devais savoir, et pourtant, les années ont passées, et j'étas toujours dans l'ignorance, depuis ce jour, je n'ai quasiment pas reparler à ma mère.
« La vérité n'est pas toujours bonne à savoir ! »
Il arrive toujours un jour où la vérité éclate au grand jour, mais même quand on souffre, elle n'est pas bonne à souvoir, on pense ne pas pouvoir souffrir davantage, et pourtant on se sens détruit, toute vos bases s'effrondre devant vos yeux, la vie en devient encore plus dure.
J'avais 15 ans, j'étais une jeune adolescente, je commençais à m'habituer à ma vie, à cette mère horrible que j'avais, au lycée j'avais des notes assez bonnes, j'étais à peu près une bonne étudiante, je pense qu'à cette période ma vie était à peu prés bien, seulement ça ne dura pas longtemps.
Un soir, nous dînons en famille, quand soudain ma mère s'est levée de table, folle de rage, personne ne comprenait ce qu'elle avait, elle me regarda horriblement, avant de me lancer son asiette en pleine figure. Un véritable choc, mais ses paroles furent pires encore.
- Tu n'es pas ma fille, mais tu es encore moins celle de Vladimir, alors cesse de rigoler comme une bécasse avec celui que tu crois être ton père !
- Irina, arrête s'il te plais ...
- Que j'arrête ? Et toi quand arrêteras tu de défendre cette gamine qui n'est pas la tienne ?
- De quoi parlez vous ?
- Ha, elle ne sait rien ? Et bien sâche vermine, que ce n'est pas ton père !
- Papa, qu'est-ce qu'elle raconte ?
- NE DIS PLUS PAPA ! Ton père est un enculé qui m'a violée, qui m'a détruire, alors ne dis plus jamais Papa !
Un véritable choc, j'avais appris cette vérité que je recherchais, je savais pourquoi elle me detestais tant, je compris aussi que sa maladie n'était autre que la dépréssion. J'avais aussi appris que la seule personne que j'aimais et qui m'aimais, m'avais mentis toute ma vie, je partis dans ma chambre, et je n'en ressortais que pour allez en cours, que ce soit à elle ou à lui, je le leur est jamais plus adresser la parole.
« La mort n'est que la dernière étape de la vie »
Quelques jours ont passés après cette horrible soirée. Ma sois disant mère fu retrouvée morte, elle s'était taillé les veines dans la salle de bain. Je fut soulagée. Pas une seule seconde je ressentit de la peine. Même en regardant « mon père » pleurer. Aux obséques, je n'y suis même pas allée. Je m'en foutais. Je pensais juste que j'allais enfin me sentir mieux. C'était mieux ainsi, autant pour elle que pour moi.
Je suis peut être un peu égoïste de penser ainsi, mais rien ne me fera changer d'avis sur la mort de cette femme. Jamais je ne regretterais. Je ne suis jamais allée sur sa tombe, je n'ai jamais regarder un vieille album de famille en pleurant, de toute façon nous n'avions pas d'album de famille vu que de toute évidence, nous n'avions pas de famille, juste des pieces détachées, les pieces d'un puzzle, les 3 pieces en trop, celles qui ne s'assembles pas, mais qui au contraire, tel des aimants se reppoussent.
Le temps à passé, je n'avais plus cette haine pesante, j'étais mieux, mais je ne parlait pas non plus à mon père, alors quand j'ai eu mes 18 ans, il est arrivé quelque chose dont je rêvais depuis mes 7 ans !